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Il y a des coups de foudre qui font des bleus au coeur.
Pierre Perret
Elle a un charme fou, il a un superbe sourire malicieux,
une belle rencontre dans le métro :
http://www.youtube.com/watch?v=TVnM-jLdnNE
UA-72474343-1
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Il y a des coups de foudre qui font des bleus au coeur.
Pierre Perret
Elle a un charme fou, il a un superbe sourire malicieux,
une belle rencontre dans le métro :
http://www.youtube.com/watch?v=TVnM-jLdnNE
Une petite pensée pour Maïa Simon…
en espérant avoir, moi aussi, un jour la possibilité de « débrancher » dans de bonnes conditions, si cela est mon choix…
Bien sûr il y a la loi Leonetti. Et pour en arriver là, il a tout de même fallu qu’une mère (puis une équipe médicale) mettent fin à la vie de son fils. C’était le vœux de : Vincent Humbert en 2003, tétraplégique, aveugle et muet après un accident de voiture. Ce texte autorise depuis 2005 un patient à refuser toute "obstination déraisonnable ».
http://www.humanite.fr/2007-03-12_Societe_La-loi-Leonetti-en-question
http://www.medecines-douces.com/impatient/305nov03/actu_vincent_humbert.htm
Mais il semble qu’il reste encore un pas à faire….
Dis Papa, quand c'est qu'y passe
Le marchand d' cailloux
J'en voudrais dans mes godasses
A la place des joujoux
Avec mes copines en classe
On comprend pas tout
Pourquoi des gros dégueulasses
Font du mal partout
Pourquoi les enfants de Belfast
Et d' tous les ghettos
Quand y balancent un caillasse
On leur fait la peau
J' croyais qu' David et Goliath
Ça marchait encore
Les plus p'tits pouvaient s' débattrent
Sans être les plus morts »
Renaud
Et les superbes « Nu féminin» et « Plage endormie» du grand Antoni Pitxot.
(Musée de Dali de Figueres)
Un jour, un vieux professeur de l’Ecole Nationale d’Administration fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d’une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies. Ce cours constituait l’un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n’avait donc qu’une heure pour faire passer sa matière. Debout devant ce groupe d’élite (qui était prêt à noter tout ce que l’expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".
De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d’un gallon (pot de verre de plus de 4 litres) qu’il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement un par un dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu’au bord et qu’il fut impossible d’y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?" Tous répondirent : "Oui"
Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?"
Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s’infiltrèrent entre les cailloux... jusqu’au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L’un d’eux répondit : "Probablement pas !"
"Bien !" répondit le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en cœur, les brillants élèves répondirent : "Non !"
"Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s’y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d’eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu’à ras bord.
Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?".
Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit "Cela démontre que même lorsque l’on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire". "Non", répondit le vieux prof, "ce n’est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans ce pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous ensuite".
Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l’évidence de ces propos.
Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux de votre vie ? Votre santé ? Votre famille ? Vos amis ? Réaliser vos rêves ? Faire ce que vous aimez ? Apprendre ? Défendre une cause ? Vous relaxez ? Prendre le temps ? Ou toute autre chose ? Ce qu’il faut retenir, c’est l’importance de mettre ses gros cailloux en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n’aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie."
"Alors n’oubliez pas de vous poser à vous-même la question : Quels sont les gros cailloux dans ma vie ? Ensuite mettez-les en premier dans votre pot."
D’un geste amical, le vieux prof salua son auditoire et lentement quitta la salle.
« Les critiques vous le diront tous : on reconnaît un écrivain distingué à ce que, affrontant un sujet aussi grave, il évite par-dessus tout l’écueil du pathos. Sourdine mise, pleurs retenus… Les grandes douleurs sont muettes… Ainsi l’intensité de l’émotion se mesurera-t-elle à l’épaisseur du bâillon posé sur la bouche…
Le mot d’ordre est : pas de pathos ! Mais qu’advient-il alors de la vérité et de son insupportable nœud vécu d’angoisse et de chagrin ? Trop vulgaire, n’est-ce pas ?
Je crains de décevoir. Question de dette contractée à l’égard de celle qui, hors de la page, a réellement connu la souffrance dont d’autres font les livres. L’écueil du pathos ? Je vais où le vent de la vie me pousse. Je mets le cap sur les récifs".
Philippe Forest
Certains livres s’imposent… . J’écoutais la radio en faisant mon ménage, et la voix d’un homme et ses propos m’ont charmée. Il évoquait la sortie de son dernier livre « Le nouvel amour ». Il m’a fallu alors découvrir son écriture… et je suis tombée sur « L’enfant éternel »… Il avait évoqué ses livres précédents dans l’interview, je connaissais donc l’histoire dramatique, tragique qui lui avait été nécessaire de coucher sur le papier. Depuis hier soir, pas moyen de poser ce bouquin. ;-(
Comment vivre après la mort de son enfant ? Pour avoir juste mis un pied dans l’antre de l’enfer, je peux dire que je me demande encore aujourd’hui, si cela est possible…
Ce livre parle donc de la vie, de cette superbe petite fille, de cet amour infini, mais aussi de cette saloperie envahissante et exigeante, de ce père, de cette mère face à l'inconnu…
Il y a aussi de très belles pages sur l’Ecriture, sur ce deuil subi aussi par Victor Hugo et Mallarmé...
Pour une fois, je n’ai pas trop envie d’arriver à la fin que je connais déjà, mais les mots de Philippe Forest sont enivrants… et il est bien difficile de résister à ce tourbillon.... ;-(
Je me suis un peu documentée sur cet homme :
Écrivain français, né en 1962. Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris et Docteur ès Lettres, il enseigne durant sept années la littérature française dans les universités anglaises (Cambridge, Saint-Andrews). Actuellement professeur de littérature comparée à l'Université de Nantes. Il est l'auteur de nombreux essais consacrés à la littérature et à l'histoire des courants d'avant-garde, et quatre romans :
Il est aussi critique littéraire, cinématographique et artistique.
« L'homme n'est peut-être que le monstre de la femme,
ou la femme le monstre de l'homme ».
Denis Diderot
RAS ce soir, je vous laisse en délirante compagnie :
http://www.tokyoplastic.com/LFinteractive.html
(Attention, Tommie le chargement est un peu long, tu as le temps d’aller faire autre chose avant de pouvoir cliquer sur le nombril, sur l’œil ou dans l’oreille de cette bestiole ! ;-)
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Les années passent !
Cela ne fait pas rire, quoique si dans le fond ;-)
Etre aimé, c'est se consumer dans la flamme.
Aimer, c'est luire d'une lumière inépuisable.
Etre aimé, c'est passer ; aimer c'est durer.
Rainer Maria Rilke
Parce qu'il y a eu tant de bonheurs
et nos cœurs débordants
Il y a tant de frissons
Et tes mains effleurant..
Il y aura tant d’hésitation
Et tes murmures me guidant
Parce qu’il y a eu toutes ces peurs
Et tes bras lovant
Il y a tant de démons
Et tes yeux rassurants
Il y aura tant de renoncement
Et nos mains se tenant…
« Une femme est authentique
quand elle ressemble à l'image
qu'elle a rêvée d'elle-même. »
« J’espère un jour ne plus être à la mode pour devenir un classique."
Pedro Almodovar
Né le 25 septembre 1949… bientôt un an de plus !! ;-)
Deux films de Pedro Almodovar… à la TV à quelques jours d’écart. Si, si je vous assure, cela nous change de toutes ces séries à la c… du vrai cinéma, du 7ème art ! Même si évidemment on les connaît déjà…
Du coup j’en profite pour un petit coup de chapeau à ce grand réalisateur.
Ce soir donc je suis donc en compagnie de femmes au bord de la crise de nerf…
J'aime bien ce cinéaste anticonformiste qui sait si bien parler des « humains », des croisement de destins. « Tout sur ma mère » est remarquable, « Talons aiguille »…, tous en fait… et « parle avec elle » ? Dans lequel, Benigno, si touchant est animé par cet amour impossible. L’opposition de ces deux hommes parlants face à ces deux femmes silencieuses…l’espoir et l'attente du miracle, le respect de l’autre, de la différence, l’émotion autour de la beauté, l’évocation de l’attirance, du désir, la présence de la mort.. Génial, le petit film muet, dans lequel l’homme rétréci féconde la femme aimée…
Tout cela porté par la danse, la musique, les taureaux… et le cucurrucucu de Crétano Veloso !!!
J’apprécie le regard d’Almodovar sur la vie, sur la mort… Ses personnages sont souvent fragiles, névrosés, seuls, incompris… bref, c’est comme dans la vraie vie !!!
Volver me semble différent, pas de taureaux, peu de musique, pas de petites gens, de problème d’identité… quoique.
Les femmes sont superbes, très dignes…
Ce qui m’a frappé c’est le décalage, le sujet est sombre mais il est traité de façon plutôt légère, certaines ficelles sont énormes - l’enterrement du congélateur…
Pénélope Cruz est très belle et généreuse à tous les sens du terme, la distribution est excellente.
La complicité, la connivence de ces femmes de différentes générations est vraiment superbe.
C’est un très beau regard d’homme sur la gente féminine, par contre une critique du « mâle » assez sévère.
Dans ce film les personnages ne sont pas fragiles, névrosés… , j’ai presque envie de dire au contraire, c’est plutôt l’équilibre, la maîtrise l’union, le lien… pas de déchirure, de plaie béante, de croûte arrachée, mais une bien belle cicatrice…
Pour maîtriser la guitare,
il faut dix années par corde.
Proverbe espagnol
Ce proverbe est faux ou en tout cas pas pour tout le monde, la preuve....
Epuisantes ces Journées Européennes du Patrimoine, alors je m’octroie un petit air de guitare…
L’année dernière, je vous avais parlé de cette découverte musicale qui m’avait vraiment marquée. Quel ravissement de voir ces doigts courir, galoper, tricoter…. Formidable ! ;-)
Funtwo, le guitariste au jeu hallucinant ! +++
Je ne m’en lasse pas, alors je vous le remets :
http://www.youtube.com/watch?v=QjA5faZF1A8
Avec un article de l’Express, car à l’époque, tout le monde s’interrogeait sur ce prodige, sa vidéo était un tel succès sur Youtube !!! :
http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=5612
On n’en sait un peu plus sur ce jeune sud-coréen de 24 ans, Lim Jeong-Hyun…
Mais dans les milieux autorisés, on s’autorise à penser qu’il serait presque détrôné par un Mattrach, qui semble avoir les mêmes qualités…
Si j’ai tout compris, à l’origine, les arrangements du Canon de Pachelbel sont de Jerry C... :
http://www.youtube.com/watch?v=TvJM8sg7opE
Alors voilà ce que cela donne, je vous préviens une aisance aussi déconcertante, ça énerve quelque peu, et puis c’est tout bon ! Que du bonheur !
Et il n’a que 16 ans…
http://www.dailymotion.com/relevance/tag/canon/search/mattrach/video/x1zprn_canon-rock-played-by-mattrach_music
D’autres de ce fameux Mattrach à consommer sans modération :
http://www.dailymotion.com/relevance/tag/mattrach/search/mattrach
Encore un p'tit café
Pour te tenir debout
Quand la fille d'à côté
Te suspend à un clou
Pour aller s'enivrer
Avec un autre hibou
Pour aller s'accoupler
Avec une autre bête
H-F. Thiéfaine
Et un site amusant :
"Les écologistes ne s'intéressent pas
qu'au cul des oiseaux et à la chlorophylle !"
Noël Mamère
Ben non ! ;-)
Alors le Grenelle de l'environnement ?
Que faut-il en attendre ou
peut-on en attendre quelque chose ?
Ø Volonté de refonder la politique de l’écologie
Ø Inventer collectivement les conditions d’une nouvelle croissance compatible avec les limites d’un monde fini ?
Ø Et fin octobre un plan d’action en 20 en 30 mesures concrètes et quantifiables
Ø Tentative de récupération
Ø Faux consensus, écologie spectacle
Ø Pas sérieux, pas crédible !
Non, je ne vous dirai pas de quelque côté, je penche…. ;-)
A Lyon, un contre-Grenelle de l’environnement se tiendra le 6 octobre à l’initiative du journal la Décroissance et les Casseurs de Pub et de nombreuses associations.
Donc pour vous faire une petite idée :
et
http://www.contre-grenelle.org/
Au sein du Grenelle, on peut discerner trois familles d’ONG :
L’Alliance (plate forme de 80 associations environ, parmi lesquelles les 3 grands réseaux internationaux (Greenpeace, Les Amis de la Terre et le WWF)) - en face la fédération France Nature Environnement, (3000 associations de terrain, 100 % franco-française) Les 1ères accusant les 2ndes d’être à la botte du gouvernement. - Et puis la Fondation Nicolas-Hulot, la figure médiatique de l’écologie.
(dixit Libé du mercredi 12/09/07 p18)
« Quand tu ne sais pas où tu vas,
Souviens-toi d’où tu viens. »
Proverbe africain
Avec un ticket de bus ou de métro à 1,5 € l’unité, valable une heure à Lyon, je me dis que nous ne nous donnons pas les moyens de réduire la circulation et la pollution urbaine.
Alors voilà une proposition sympa, 1 euro la journée, je demande à voir… Même si cela ne veut pas dire grand chose. Peut-être que certains laisseront la voiture, mais peu se diront que le prix normal est trop élevé... et pourtant ce serait bien pour tout le monde !
Cette journée s'incrit dans le cadre de l'édition 2007 de la semaine européenne de la mobilité qui se déroulera du 16 au 22 septembre.
C’est vrai puisque c’est sur le site du prime-minister ! :
http://www.premier-ministre.gouv.fr/information/actualites_20/offrez_vous_une_journee_57204.html
« On ne peut donner que deux choses à ses enfants :
Des racines et des ailes. »
Proverbe Juif
Ça y est, la rentrée c’est presque une histoire ancienne.
Alors une petite pensée pour tous les écoliers, et puis cette chtite vidéo qui est maintenant un grand classique, mais dont je ne me lasse pas…
Lionel et le midi, la viande au jus, les piranianias… et la maitresse, Madame.... !
« Evitez soigneusement de faire du sport :
il y a des gens qui sont payés pour ça. »
Stephen Leacock
Vendredi soir, j’étais comme tout le monde devant la TV, pour admirer Nos rugbymen.
Sur toutes les chaînes, dans tous les journaux, on ne parlait que d'eux. Ils se sont entraînés depuis deux mois - terrible, l’entraînement pour gonfler et devenir imposants… Non, je dis des bêtises, en fait ce sont des muscles ! Alors là, impressionnant, même un peu trop pour moi, en fait. ;-)
J’avoue être un peu opportuniste sur ce coup-là… bien décidée à faire la fête si Nous gagnions ! ;-)
Mais bon, le rêve en a pris un bon coup dans l’aile…. Il paraît que c’est parce qu’ils avaient trop la pression, ils sont tout de même fragiles ces colosses-là.
De belles images, tout de même, comme ces fêtes improvisées dans les rues entre supporters de nations différentes et la haie d’honneur de l’équipe irlandaise pour les Namibiens… Quel contraste avec le match de foot France/Italie… ;-(Enfin il paraît qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours…
Je veux bien y croire encore : Allez les Bleus !
Voilà ma rubrique sport… vous l’aurez compris en fait, ce n’est pas trop mon truc ;-)