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  • Houellebecq cartonne !

    Houellebecq.jpg

    "N'ayez pas peur du bonheur : il n'existe pas."

    Michel Houellebecq

     

    Ah ben non !
    J’aime pas trop Houellebecq, tout chez Houellebecq, enfin rien je veux dire…. mais voilà encore un livre qu’il me faut lire !
    Il parait que celui-ci est différent des autres, qu’il y a tout ce que je n’aime pas trop, tout ce qui fait Houellebecq, alors vais-je aimer Houellebecq s’il n’est plus Houellebecq ? Je veux bien prendre le risque.

    Un petit billet pas terrible, loin du politiquement correct car aujourd'hui tout le monde aime cet écrivain,  mais m’inspire pas trop ce "La carte et le territoire", je vais pourtant le lire et je vous dis quoi !

    Je vous salue charmante compagnie !

     __________________________________________________________

     La carte et le territoire -  suite

    Ben voilà, je suis tombée sous le charme de ce dernier Houellebecq ! Si, si, je vous assure !

     

    Différent, moins cynique, moins « crade »…Un bouquin qui évoque les rencontres, les rendez-vous manqués, la fin de vie, les incompréhensions, une pointe d’amour, une brouette de solitude, du temps qui passe, de la vie qui s’en fout....

     De belles choses :

    "On peut toujours prendre des notes, essayer d’aligner des phrases ; mais pour se lancer dans l’écriture d’un roman il faut attendre que tout cela devienne compact, irréfutable, il faut attendre l’apparition d’un authentique noyau de nécessité. On ne décide jamais soi-même de l’écriture d’un livre, avait-il ajuté ; un livre, selon lui, c’était comme un bloc de béton qui se décide à prendre, et les possibilités d’action de l’auteur se limitaient au fait d’être là, et d’attendre, dans une inaction angoissante, que le processus démarre de lui-même"… (page 254)

    "
    Olga l’aimait, se répéta-t-il avec une tristesse croissante en même temps qu’il réalisait que plus rien n’aurait lieu entre eux, ne pourrait plus jamais avoir lieu entre eux, la vie vous offre une chance parfois se dit-il mais lorsqu’on est trop lâche ou trop indécis pour la saisir ; la vie reprend ses cartes, il y a un moment pour faire les choses et pour entrer dans un bonheur possible, ce moment dure quelques jours, parfois quelques semaines ou même quelques mois mais il ne se produit qu’une fois et une seule, et si l’on veut y revenir plus tard c’est tout simplement impossible, il n’y a plus de place pour l’enthousiasme, la croyance et la foi, demeure une résignation douce, une pitié réciproque et attristée, la sensation inutile et juste que quelque chose aurait pu avoir lieu, qu’on s’est simplement montré indigne du don qui vous avait été fait."     (page 251)

     

    Michel Houellebecq - La carte et le territoire. 

  • Un petit gratuit sans prétention...

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    Ce que l’on appelle la société de consommation
    devrat être rebaptisé : Société de Tentation.

    Frédéric Beigbeder

     

     

    Quelques réflexions à la lecture d'un petit "Carrefour mag" !

     

    "Ma maison est une maison ruche… nouveau style de vie, essentiellement basé sur l’impromptu. Une improvisation qui entraîne un nouveau comportement de vie : désormais, on se fiche du désordre du logis. Dans cette ruche, le salon fait office de salle à manger, bureau et pièce à jouer…. Façon auberge espagnole, nous prenons les repas à la dernière minute… Les placards et Frigidaires sont toujours bien approvisionnés. … Les chaises, tables qui s’emboîtent, se superposent, s’allongent, se plient et se déplient pour accueillir le plus facilement possible tout ce beau monde…. Et puisque nos voilà rassemblés, ensemble discutons de tout, partageons nos expériences que nos agrémentons en direct ou en différé… Evidemment, qu’importe la taille de notre ruche : l’important c’est que nous battions de l’aile allègrement."

     

    Ma maison est donc une ruche et je suis très fière de toutes mes abeilles…. Je connais aussi le parasite de la teigne et le dégât qu’elle peut faire dans une ruche ! C’est fait ! Passons à autre chose maintenant, les butineuses ont encore du travail sur la planche !

     

    "Leur participation aux tâches domestiques réduit le taux de divorce. Une étude menée par la London School Of Economics vient de démontrer que les risques de séparation sont considérablement diminués lorsque monsieur empoigne aspirateur et gants Mapas, fait dîner les enfants et range leur chambre."

     

    Comment cela, faire le ménage et s'occuper des "gosses" n'est pas l'apanage des femmes ? On m'aurait menti ? Tiens donc ! Je comprends mieux, now !

     

    Quelques noms de poires : la Williams, l’Alexandrine, La Louise bonne, la Comice, la Beurré Hardy, La Conférence…

     

    Juste pour la culture !

     

    Quelques recettes à tester, je garde sous la main les pancakes « made in usa » et les smoothies pour mes brunchs

     

    Pour finir, l’horoscope : « côté cœur, l’amour caressera l’optimisme, regarder le verre d’eau à moitié plein mais avec discernement. »

     

    Ouais, toujours aussi intéressants, ce genre de bobards… Pour l’optimisme, je vais attendre encore un peu… pour la moitié, le plein ou le vide, c’est pas complet en tout cas, mais c’est peut-être mieux ainsi, ça peut encore se remplir ou se vider… c’est donc vivant, et tant qu’il y a de la vie…..

     

    Et finissons par une pub sur les yaourts à l’extrait de Stévia Rebaudiana (plante originaire d’Amérique du Sud sucrant 300 fois supérieur au sucre).

    A la maison, ce sucre naturel est déjà entré, grâce aux "sucrettes" et un joli petit plant vient de m'être offert ! Cetains êtres sont d'une délicatesse ! ;-)

     

    Bonne semaine à vous.

  • Mettez m’en une louche !

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    « J’m'en fous de baiser.

    C’est pas ça le principal. 

    L’important c’est….  c’est de se réveiller avec quelqu’un.

    C’est de dormir en cuiller.

    Hum, C’est ça l’important, la cuiller.

    Savoir que si y'a un méchant qui débarque, y'a quelqu'un.
    C'est une métaphore, y'a jamais de méchant qui débarque, mais, si….

    Tu te réveilles avec le vent puis, tu sens le ventre chaud de la personne que t'aimes, qui respire dans le creux de ton dos. C’est ça la cuiller… »

     

      

    Les amours imaginaires - Xavier Dolan