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  • Souvenons-nous....

    madeleine.jpg"Seul ce que j'ai perdu
    M'appartient à jamais
    Tu aurais peut-être dû
    Savoir que c'était vrai
    Que les minutes et les secondes
    Passées entre mes bras
    Tu ne pourras jamais me les voler
    Qu'elles resteront gravées dans ma mémoire
    Comme on s'accroche au comptoir"
    Elisa Félix (deux premiers vers)
    Christophe Miossec

    J’aime faire le lien entre ceux que j’aime…. Lire Philippe Corcuff qui commente un texte de Miossec, quel pied ! J’avoue, je n’ai pas tout compris à la première lecture…. Il m’a fallu revenir sur certains mots, associations d’idées… En ce qui concerne l’amour, la perte, ok,  par contre le lien avec la politique m’intéresse moins.

    Mais du coup, je réfléchis. Si seul ce que nous avons perdu nous appartient à jamais, on pourrait presque dire aussi que seul ce qui est passé existe vraiment. Ce que nous vivons au présent n’a pas de valeur, il n’existe ni au futur, ni au présent, mais seulement au passé ou seulement dans la conscience posthume que nous en avons.…. Et voilà, Damien qui rapplique avec sa petite madeleine à la main et son désir de me voir lire – dévorer, serait plus juste - les bouquins de Marcel Proust. Il prétend que je suis « mure » pour cette lecture… En plus s’il se fait aider par un sociologue philosophe et un chanteur particulièrement touchant… j’suis foutue, j’vous l’dis ! Proust où es-tu ?

     

    J’ai l’impression de m’embrouiller la tête, suis-je dans le contresens ? Le présent existe bien, pourtant, je n’aime pas que ceux que j’ai perdus, et j’ai souvent conscience du bonheur quand je baigne dedans ! Serais-je trop cartésienne ? Alors help me !

  • Touchées.... coulées !

    sylvia.jpg

    "Je serai toujours prisonnière de cette cloche de verre,
    je mijoterai toujours dans le même air vicié......

    Peut-être qu'un jour, au collège, en France, quelque part,
    n'importe où, la cloche de verre,

    avec ses déformations étouffantes descendrait de nouveau sur moi ?" 

    Sylvia PLATH

     

    "Le jeu de la folie est un sport de l'extrême
    Qui se pratique souvent au bord des précipices"

    H.F. THIEFAINE

     

     

     

     

    Deux livres offerts.... deux vies singulières, deux Sylvia très tourmentées (euphémisme) qui finissent par lâcher prise.

     

    "La cloche de détresse" de Plath Sylvia est un récit autobiographique. On sent les démons approcher, envahir,  prendre possession…. Sylvia évoque sa vie de jeune fille mais aussi ses hospitalisations en milieu spécialisé,  ses électrochocs.

     

    "Sylvia" de Michaels Leonar est  une histoire d’amour. C’est lui qui décrit cet amour et son impuissance face à cette femme – Sylvia Bloch - imprévisible, "folle" qu’il n’arrive plus à comprendre et à aimer.

     

    Il m’a fallu aller vérifier que ces deux Sylvia n’était pas la même. Et puis non.

     

    Très troublant de poser un tel livre et de prendre le suivant dans cette unité là….

     

    Le livre de Sylvia m’a plus touchée. Je n’ai pas trop aimé la mise à distance de Michael Leonar. Cet amour, ne m’a pas paru si passionnel que cela (Zweig m’a rendue très exigeante quant à l’écriture et à la transcription des sentiments), avec  la Cloche de détresse c’est du clinique, du vécu, de la descente aux enfers, sans fioritures, en « direct live ».

     

    Mauvais choix de lecture en cette période tristounette, ou le soleil manque cruellement.

     

    Demain, je relis Candide de Voltaire…. Mon fils va le présenter pour son bac de français, un peu d’optimisme me fera le plus grand bien...

  • Point G

    aubade_65.jpg

     

    "Le sexe apaise les tensions.
    L’amour les provoque."
    Woody Allen

     

     

     

    Il existe !
    Non !
    Si, chez certaines d'entre nous, seulement....

    Il faudrait savoir tout de même !

    Nos partenaires doivent-ils partir à la quête du point G pour nous faire grimper aux rideaux ?

    On l’a cru,  longtemps, peu semblaient s’en préoccuper pour être sincère, et puis là, des scientifiques  britanniques remettent en cause son existence. Des chercheurs français ripostent : il existe chez  56 % des femmes. Il correspondrait à une zone située à 2 cm de l’entrée de lu vagin, sur la paroi intérieure ? Ce ne serait pas un point, mais une zone où la muqueuse serait  plus épaisse.

    L’avoir ou ne pas l’avoir, est-ce vraiment la question ?

     http://www.maxisciences.com/point-g/sexualite-le-point-g-n-039-existe-pas_art5152.html