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corse

  • La beauté de l'Ile !

    maure.jpgC’est avec Pascal Paoli que la tête de Maure devient le symbole officiel de la nation corse. Il décide de supprimer les chaînes et autres marques de soumission et de relever le bandeau qui couvre les yeux
    « Les Corses veulent y voir clair. La liberté doit marcher au flambeau de la philosophie.
    Ne dirait-on pas que nous craignons la lumière ? »

     

     

    Que dire de ce séjour en Corse ?

    Que l’île de beauté mérite ce nom !
    C’est bien court, même si effectivement tout semble dit…
                                          Alors petit récapitulatif :

    J’ai aimé me lever à 6 h 30 pour aller contempler le lever du soleil,
    J’ai aimé entendre les cigales dans les eucalyptus.
    J’ai aimé en chercher une avec mon fils pour enfin la trouver et la contempler.
    J’ai aimé les couleurs de la mer et sa température… (ça c’était vraiment bien !).
    J’ai aimé les spécialités fromagères et charcutière locales.
    J’ai aimé voir tous ces cochons, ces vaches « libres » (antropomorphisme, mais sensation de liberté très appréciable).
    J’ai aimé le rire de mon fils quand il a voulu porter un petit cochon qui nous a alors gratifié d’un majestueux « cri du cochon ».
    J’ai aimé les vestiges du passé (toutes les ruines de fort, de tour génoise… les vieilles pierres !).
    J’ai aimé ce beau corse dans cette gare paumée qui m’a indiqué ma route (je regrette de ne pas avoir fait une photo de cet homme dans ce lieu un tantinet romantique, ils avaient beaucoup de charme tous les deux … et l’homme et le lieu!).
    J’ai aimé la journée passée dans le paradis que sont les îles Lavezzi (le paradis existe ?),
    avec une pensée pour tous ces hommes qui y ont perdu la vie (et l’enfer ?).
    J’ai aimé l’émerveillement de mes enfants qui ont vu une murène au fond de la mer (une rencontre inoubliable !).
    J’ai aimé la tourterelle curieuse qui venait chaque matin, sur la table… (et à midi aussi, pas bête cette bestiole !).
    J’ai aimé voir la peau des mes enfants et de mon homme se colorer (qu’ils sont beaux !).
    J’ai aimé les voir se baigner dans les rivières de toute beauté.
    J’ai aimé photographier ces villages typiques accrochés au flanc des montagnes.
    J’ai aimé pique-niquer à l’ombre de pins Laricio splendides (très grands, très droits).
    J’ai aimé suivre cette musique enivrante et entrer dans cette église,
    J’ai aimé que l’émotion ressentie me donne la chair de poule.
    J’ai aimé ces randonnées, épuisantes mais tellement gratifiantes (pour la première j’étais crevée, mais je l’ai fait, yes !)
    J’ai aimé ces petites figues sauvages dégustées avec gourmandise.
    J’ai aimé me sentir minuscule au cœur de paysages grandioses.
    J’ai aimé ces forêts rassurantes.
    J’ai aimé ces rivières, ces cascades et la transparence de leurs eaux.
    J’ai aimé photographier ces chênes-lièges « déshabillés ».
    J’ai aimé les tours, les phares, les sémaphores...
    J’ai aimé visité Corte, Bastia, Porto-Vecchio, Bonifacio à la fraîche avant que les affreux touristes n'envahissent leurs petites rues si plaisantes (ah ces touristes !)
    J’ai aimé ce cormoran qui séchait et qui regardait mes enfants tourner autour de lui.
    J’ai aimé la joie de mon fils quand il a vu une magnifique étoile de mer rouge dans la mer.
    J’ai aimé qu’il soit venu la photographier et la reposer où il l’avait trouvée…

    Je n’ai pas aimé voir ce troupeau de moutons et constater tant de boiteux, de blessés…
    Je n’ai pas aimé voir cette décharge à ciel ouvert près de Bastia et voir ces oiseaux du ciel chercher pitance en ces lieux.
    Je n’ai pas aimé les méduses, qui m’ont fait hésiter pour aller me baigner.
    Je n’ai pas aimé celle qui a laissé traîner ses filaments sur les bras de mon homme...
    Je n’ai pas aimé la blessure et les marques qu’elle lui a infligé (la garce !)
    Je n’ai pas aimé le prix des fruits et des légumes sur place (5 par jour, n’a pas été respecté !)
    Je n’ai pas aimé les moustiques qui piquent (les femelles alors ?).
    Je n’ai pas aimé la mer qui parfois selon les entrées maritimes était sale (papier, plastique).
    Je n’ai pas aimé voir toutes les propriétés privées longeant la N 198 qui borde la côte Est.
    Je n’ai pas aimé tous ces murs, portails, barbelés qui limitent les accès à la grande bleue…

    En conclusion, je peux donc dire que j’ai eu beaucoup de plaisir à découvrir la Corse…
    Il me faut faire maintenant mon album de photos ! ;-)

  • Corsica droit devant !

    dc30aa07e4266665acbef3f5a82f6be7.jpgUne île est par définition fragile, nomade.
    Tout le monde a peur qu'elle se dissolve à
    un moment donné ou parte à la dérive. 
     Erik Orsenna

     

     

    Je ne vous ai pas fait le coup du proverbe corse… et du reste cette citation d'Erik Orsenna me semble putôt pertinente....

     ça y est c’est décidé cet été je vais découvrir l’île de beauté…

    Si vous avez des bons plans, des conseils, je suis toute ouie !

    Merci à vous ;-)