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Enfantillages.... amoureux.. pas sérieux...

âne, Franck

« Non c'est toi qui raccroches... Non c'est toi...
Non c'est toi qui raccroches... Non c'est toi...
Non cest toi... C'est toi ...
Bon d'accord je te rappelle... »

Anaïs


Consigne d'écriture proposée par les Impromptus Littéraires :
Votre texte, en vers ou en prose, évoquera une zone de turbulence que vous avez traversée…

   

J’ai  laissé causer mon cœur
Il a parlé à cœur ouvert
Et il a été touché en plein cœur 

Tu me mettais du baume au cœur
Mais tu n’avais pas de cœur

Et à force de me le soulever
Tu as fini par me le fendre

Etre au cœur d’une telle turbulence
Aurait pu me rester sur le cœur 
Mais le mien est  bien accroché

Toi, tu veux le conquérir
J’y consens de bon cœur
Ton rôle de joli cœur me fait sourire
J’aime quand tu me serres sur ton cœur 

Même si cette histoire je la connais par cœur
Il me faut assumer mon cœur d’artichaut

Redouter et fuir le vilain bourreau
Qui va finir par briser mon petit cœur

Mais j’aime trop le sentir qui bat 
il s'en donne à cœur joie
Dommage qu’à chaque fois

Il  croit qu’il ne s’en remettra pas

Pourtant, tant que j'ai à cœur de tout recommencer… 

Commentaires

  • Super ! je vais l'apprendre par coeur !

  • Alors là Kris je suis admirative devant une si belle écriture...

  • Vous êtes trop !!!!!

    merci à vous et au plaisir de vous lire.. ;-))))

  • La souffrance crée la beauté. Elle est cependant redoutée. Doit-on s'y résigner ou bien l'apprivoiser ? Chapeau bas Madame.

  • Tiens, un fen ! Mais ce n'est pas une gazelle, c'est un âne !!!! ;-)))

    Ce commentaire demande réflexion... par esprit de contradiction, j'ai envie de répondre, que non, la souffrance fait plus de mal que de bien, et que c'est au bonheur de créer la beauté ! Bon je réflechis.... et relève le gant, euh.... le chapeau !

    Bien contente de te lire ici, en tout cas.

    Je t'embrasse

  • hello Kris ! il est à vous ce petit âne si joli ? ...
    pour la souffrance créant la beauté, si cela signifie qu'il faut souffir pour réaliser des chefs d'oeuvre, certainement. Dans ce cas se résignent et apprivoiser, surement.
    Dans une autre acception, plus "littéral", alors je crois bien que non !
    bises, bon dimanche :o)

  • Merci l'enchanteur, toujours un plaisir... ;-)

    Pour l'âne, non ce n'est pas le mien... dommage ! ;-(

    Pour la souffrance, on peut tout de même réaliser des chefs d'oeuvre sans souffrir !!!

    De toute façon il nous faut faire avec, certaines sont plus surmontables ou apprivoisables que d'autres et nous n'avons pas toujours la même capacité à supporter.. et puis la souffrance ça peut aussi être l'anéantissement, le recroquevillement, le plus rien, la mort parfois.

    Bon dimanche et bizzzzzzzzzzz

  • j'ai un peu tendance à penser que tous (presque, d'accord ...) les chefs d'oeuvre ont été enfantés dans le douleur ou pour le moins dans la difficulté ... mais tu as aussi raison en disant qu'on peut faire des merveilles sans souffrir (tiens, une référence de vieux : "La mer" a été écrite par Trenet en quelques minutes, sur le coin d'une table ... mais est-ce un chef d'oeuvre ? de la chanson ? oui ... :o) )

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